Tournée sud systémique

Parce que je manque de courage pour aller à la source, qu'elle soit canadienne ou russe, je préfère descendre dans le sud. Il y fait moins froid, je partage la même langue (enfin, dans une certaine mesure) et quand je me perdrai, je n'aurai pas besoin de comparer les caractères des indications de mon plan avec celles des rues.

Bref, je vais faire un tour à Lyon voir Emmnanuel Manolakakis (aaaah, Manny...) et Konstantin Komarov (euh non, j'ai jamais fait de compte-rendu de la seule fois où je l'ai vu en 2014 et il y a toujours un livre en attente) à Montpellier.

Entre les deux, j'ai un peu décidé d'aller fouiller les clubs du sud et mon coeur balance entre ceux d'Aix en Provence (parce que bon, Christian Peytier, quand même), Nice ou Marseille. Je peux techniquement faire les trois (faut aimer les transports, cela dit) mais tous ces clubs là n'ont pas des cours tous les jours non plus (rha mais alors).

Bien sûr, comme à chaque fois que j'ai la sensation de progresser, il y a toujours un cours où une séquence de travail libre qui remet un peu l'oedème à zéro, c'est juste histoire d'aller balader mes chevilles dans d'autres contrées.

De toutes façons, moi je fais pas de discrimination, elles (les chevilles) peuvent en prendre plein la tronche partout dans le monde, la douleur n'a pas de couleur.

C'était mon message pour la paix et me trouver des amis.